25 décembre 2011
7
25
/12
/décembre
/2011
15:51
DIEU n'est pas la mort et la mort n'atteint pas DIEU. Je suis ma propre fin et le commencement. L'immensité couvre mon regard pourtant je vois plus loin encore. L'homme libre doit être à la hauteur de ses passions. Aujourd'hui je sais que l'initiation ne donne pas mais qu'elle fait vivre. J'aurai pu ne rien savoir au lieu de savoir que je ne sais rien. Pourquoi cette route qui mène ailleurs ramène invariablement, inlassablement vers cet "Ici" d'où je ne suis pas parti? Mais laissons-nous colorer la vie! Pour ne pas s'assombrir la lumière doit être éclatante, brève et intense dans l'instant. Je suis dans les extrêmes. Quitte le masque faussement expressif de la lourde nuit qui t'enveloppe. Face aux chimères, ce monde nous donne l'impression d'exister et de contenter l'homme. Ma confession aux souvenirs périmés, laissera briller les étoiles indifférentes. Que sommes-nous? Un regard que le temps vide? Nous voulions être et nous l'avons oublié. Encapuchonné, sans visage, je déambule...